Un essai de lecture cursive, collective et commentée (voir les commentaires ouverts à tous) de l'Evangile selon saint Luc. N'hésitez pas à participer à cette lecture au fil de l'eau !
Selon saint Luc
Vitrail de Nonancourt
jeudi 26 septembre 2013
Luc 2, 13-14 Gloire à Dieu au plus haut des cieux
13Et soudain il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu 14et disant : Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu’Il aime !
C'est à l'issue de cette contemplation ignacienne, comme un berger, que l'on peut concevoir la présence contemplative de l'assemblée des vivants et des morts, des hommes et des anges (un terme que l'on peut qualifier de mythologique tant que l'on ne s'inscrit pas dans la contemplation de ces bienheureux de nos familles qui nous ont quittés et qui, à la lumière de notre espérance de la résurrection, peuple le monde des "danseurs" auprès de Dieu, comme l'indique une fois encore cette image de Fra Angelico...). Le mystère de l'incarnation, que l'on ne peut concevoir qu'à la lumière de notre foi en Christ, fils de Dieu, né, mort et ressuscité, peut alors nous laisser sans voix, ou susciter en nous ce chant, qui nous embrase dans la musique et la danse des vivants, nous invite à cette danse trinitaire, qu'à embrassé Marie, dès la visitation...
* Nous avons corrigé la traduction LSG par "qu'Il aime", plus commune dans la liturgie... La traduction littérale serait "aux hommes, sujet de la bienveillance (divine), selon BJ61
C'est à l'issue de cette contemplation ignacienne, comme un berger, que l'on peut concevoir la présence contemplative de l'assemblée des vivants et des morts, des hommes et des anges (un terme que l'on peut qualifier de mythologique tant que l'on ne s'inscrit pas dans la contemplation de ces bienheureux de nos familles qui nous ont quittés et qui, à la lumière de notre espérance de la résurrection, peuple le monde des "danseurs" auprès de Dieu, comme l'indique une fois encore cette image de Fra Angelico...). Le mystère de l'incarnation, que l'on ne peut concevoir qu'à la lumière de notre foi en Christ, fils de Dieu, né, mort et ressuscité, peut alors nous laisser sans voix, ou susciter en nous ce chant, qui nous embrase dans la musique et la danse des vivants, nous invite à cette danse trinitaire, qu'à embrassé Marie, dès la visitation...
RépondreSupprimer* Nous avons corrigé la traduction LSG par "qu'Il aime", plus commune dans la liturgie... La traduction littérale serait "aux hommes, sujet de la bienveillance (divine), selon BJ61